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2 mars 2013 6 02 /03 /mars /2013 10:46


Contrairement à certaines critiques émanant, pour la plupart, de gens aigris, d'affreux jaloux ou tout simplement de personnes "mal dans leur peau", le meilleur ténor de sa génération est le fantastique ténor allemand Jonas Kaufmann.


Il devance, de très loin, tous ses collègues sans même parler de notre pauvre ténor national qui, à ses côtés, fait pâle figure !


Le dernier album discographique de Jonas Kaufmann est consacré aux oeuvres de Richard Wagner. Il s'agit d'un enregistrement qui renoue avec les grandes heures des voix wagnériennes. 


Le timbre sombre et cuivré de Kaufmann et la manière dont il émet scrupuleusement chaque note nous transportent sur les cimes de l'Olympe du monde de l'opéra. On ne doit pas oublier également sa musicalité sans faille ! Cette musicalité qui fait défaut à bon nombre d’autres ténors...


A l'écoute de ce CD, on est littéralement subjugué, du début à la fin, par une telle performance !


Enfin un ténor qui sait rendre un vibrant hommage au maître de la colline de Bayreuth.


Après ses incursions pleinement réussies dans les répertoires italiens et français, Jonas Kaufmann nous démontre, avec le répertoire germanique, qu'il n'a aucun concurrent sérieux face à lui !


 

 

 

Jonas Kaufmann chante Wagner (new recording)

 

 

 

Lohengrin de Wagner / Jonas Kaufmann, Lohengrin & Anja Harteros, Elsa 

 

 

 

 

Lohengrin de Wagner / Jonas Kaufmann, Lohengrin & Anja Harteros, Elsa

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 06:53


Confidences sur l’oreiller !


A noter : je me livre à des « confidences » dans l’émission « Rencontre » qu’anime Fabrice Henriot, directeur de Radio Semnoz.

Diffusions : mardi 19 mars à 13 h 30 ; dimanche 24 mars à 16 h 30 et jeudi 28 mars à 13 h 30.

www.radiosemnoz.com (en direct) 

Pour cette petite annonce, j’ai emprunté le titre du film (1959) de Michael Gordon avec Rock Hudson et Doris Day !

 

 

 

 

Si l'on parlait cinéma !

avec Julien Chorier

 

Mon fils Julien, étudiant à l'Ecole Supérieur de Commerce de Bordeaux vous invite, ce vendredi 1er mars, à partager sa passion pour le cinéma !

Quatre diffusions, via Internet,  à 7 h 20, 12 h 18, 18 h 15 et  23 h 12 :  www.radiosemnoz.com (en direct).

Emission "Interview" animée par Fabrice Henriot.

 

 Documents-4911-copie-1.JPGFabrice Henriot & Julien Chorier

 

Brandon Jovanovich, un ténor plus que prometteur !

 

La Walkyrie de Richard Wagner / Brandon Jovanovich, Siegmund & Nina Stemme

 

 

Don Carlo de Verdi / Brandon Jovanovich, Don Carlo, Tamara Wilson, Elisabeth  / Houston Opera, 2012       

 

 

 

Il Trittico de Puccini / Brandon Jovanovich / San Francisco Opera

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 20:48

 

 

 

La critique est aisée, l'art est difficile

Philippe Néricault dit Destouches (1680-1754)

 


Contrairement à d'autres blogs - à chacun son propre concept - je n'entre pas délibérément dans les problèmes techniques vocaux liés à chacun des chanteurs mentionnés sur mon site. Je me borne à signaler, tout simplement, ceux qui méritent, de nos jours, toute notre attention et un réel intérêt !

Peu importe si l'émission du contre-ut de l'un est plus ardue que celle d'un autre de ses collègues !

Peu importe si la voix de l'un est plus italienne que celle d'un autre...

Ce qui compte, avant tout, c'est le plaisir que peuvent procurer de belles voix sans vouloir se prendre, systématiquement, la tête.

C'est dans cet esprit que j'écris mes articles et commentaires !

Bien entendu, je n'hésite pas à mentionner les lacunes mais aussi les erreurs commises par certains interprètes surtout si les artistes concernés bénéficient d'une publicité tapageuse ne reflétant en rien leurs qualités vocales.

J'estime qu'il faut parfois remettre les pendules à l'heure. Question de respect pour ceux qui nous lisent mais aussi pour nous-même !

J'essaie d'écrire, en toute objectivité, comme me le dictent mon coeur et mon esprit, sans la moindre once d'agressivité ni sans utiliser le chemin des règlements de compte. 

Cela ne servirait à rien sinon qu'à rendre indigestes mes propos et à entacher la crédibilité de mon blog !

Cette petite mise au point étant faite, j'invite ceux (très nombreux) qui m'adressent des messages, à le faire dorénavant via mon nouvel intitulé mail :

christian.chorier@gmail.com

 

 

 

 

 

Franco Corelli, un ténor qui m'accompagne depuis ma plus tendre enfance ! 

J'ai eu la chance de l'applaudir, à plusieurs reprises, à l'Arena di Verona (Ernani de Verdi, Carmen de Bizet...), aux heures de gloire de cette prestigieuse institution qui s'offrait jadis le luxe d'afficher quatre soirs de suite :

Carlo Bergonzi, Placido Domingo, Luciano Pavarotti et Franco Corelli.


 

Luisa Miller de Verdi / Carlo Bergonzi, ténor / 1986

 

 

Lucia di Lammermoor de Donizetti / Luciano Pavarotti, ténor & Mariella Devia, soprano

Au début de ma carrière, j’ai eu le plaisir de mettre en scène Mariella Devia lors de sa première "Lucia" en France. Un souvenir inoubliable !

 

 

 

La Traviata de Verdi / Placido Domingo, ténor / 1981

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 11:47


Si les saisons lyriques du Royal Covent-Garden de Londres, du Staatsoper de Munich ou de l'Opernhaus de Munich offrent des spectacles captivants avec de prestigieuses distributions, il semble ne pas en être de même concernant notre première scène nationale. 


Parmi les quelques très rares productions qui ont retenu mon attention, je citerai en tout premier lieu la Lucia di Lammermoor de Donizetti avec un trio vocal majeur composé de Patrizia Ciofi, Vittorio Grigolo et Ludovic Tézier.


J'éprouve également un vif intérêt pour le Tamino (La Flûte Enchantée de Mozart) du ténor Pavol Breslik et le Rodolfo (La Bohème de Puccini) de Piotr Beczala. Deux ténors, entre autres, dont je vante souvent les qualités sur ce blog.


On retrouvera aussi, avec plaisir, le ténor argentin Marcelo Alvarez dans le rôle de Radamès (Aïda de Verdi).


Quatre brillants ténors : Vittorio Grigolo, Pavol Breslik, Piotr Beczala et Marcelo Alvarez seront à l'affiche de l'ONP mais l'on regrette les absences incompréhensibles de Jonas Kaufmann dans "Werther" et du ténor maltais Joseph Calleja !


Par contre, je vais éviter, à tout prix, l'Isolde (Tristan und Isole de Wagner) de Violeta Urmana dont les aigus stridents me percent les oreilles et l' Admète (Alceste de Gluck) de notre ténor national qui ne possède absolument pas le style baroque adéquat. Marc Minkowski risque de perdre son sang froid lors des répétitions. Affaire à suivre...


A ce sujet, on serait en droit de se demander si le responsable des "castings"  de l'ONP est une personne vraiment compétente et s'il connaît les règles élémentaires de l'art baroque ? 


Notre divo national nous avait déjà donné à entendre, jadis, un exécrable Orphée du même Chevalier Gluck. Cela aurait dû interpeller les responsables de l'ONP !


J'éviterai aussi de perdre ma soirée avec La Fille du Far-West, l'opéra de Puccini que je supporte  difficilement malgré la présence électrisante de Nina Stemme. Autant La Tosca, Madame Butterfly, La Bohème renferment de véritables joyaux musicaux, autant cette Fille-là est sans intérêt et sans saveur !


Face à  une telle programmation, on attend au plus vite, et avec intérêt, les programmations futures de Stéphane Lissner. 


Après le scandale occasionné par notre ténor national sur la scène de la Scala de Milan (Stéphane Lissner est encore le directeur du temple lyrique italien), il est permis de penser que notre ténor national ne sera plus à l'affiche de notre Opéra national. De quoi réjouir ses détracteurs et tous ceux qui ont de très bonnes oreilles !


A noter : comment notre divo national ose-t-il aborder le rôle de Werther après les formidables prestations artistiques de Jonas Kaufmann, dans ce même rôle, sur notre première scène lyrique française ?

Serait-il devenu totalement inconscient ou dans l'incapacité, contrairement à la divine Maria Callas, de juger par lui-même, de ses propres moyens vocaux actuels ?

 

 

 

L'Elisir d' Amore de Donizetti / Pavol Breslik, ténor  

 

 

 

Manon de Massenet / Piotr Beczala, ténor 

 

 

 

 

Vittorio Grigolo, the italian tenor !

 

 

 

Aïda de Verdi / Marcelo Alvarez, ténor

 

 

Joseph Calleja et Jonas Kaufman, Les deux grands oubliés de l'Opéra National de Paris !


Turandot de Puccini / Joseph Calleja, ténor

 

 

 

Werther  de Massenet / Jonas Kaufmann, ténor

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 08:02


"Comment est-ce possible" comme chantait , jadis, Carla Bruni ?


Avec ces Victoires, on prend chaque année les mêmes - ou presque - et l'on recommence !


Après un passage éclair du magnifique ténor italien Vittorio Grigolo qui chante avec goût et une musicalité rare sans oublier un timbre somptueux, les téléspectateurs ont dû subir, avec d'autres intervenants, le bon, le moins bon mais aussi le médiocre !


Pourquoi nous avoir infligé, par exemple, un inaudible duo des "Pêcheurs de Perles" et, malheureusement, une Nathalie Stuzmann qui semble désormais vocalement bien fatiguée.


Avec Vittorio Grigolo, la seule autre vraie star de la soirée fut, comme je l'avais annoncé sur ce blog, la divine Joyce DiDonato dans une étourdissante interprétation de l'air de Rosina du Barbier de Séville de Rossini.


Le court passage de Ludovic Tézier fut également très apprécié. On aurait aimé entendre le duo Nadir -Zurga avec ce grand baryton français et Vittorio Grigolo. Ce ne fut hélas pas le cas !


Les organisateurs de ces Victoires manqueraient-ils à ce point d'imagination à moins qu'ils ne soient guère compétents ?


En ce qui concerne les jeunes révélations lyriques de ces Victoires 2013, mieux vaut se rendre au concours organisé par le Welsh National Opera de Cardiff ou à l'Opéra Studio de Zurich pour écouter les vrais talents de demain ! 


Une soirée qui a vite sombré dans l'ennui le plus complet... le comble lorsqu'on évoque la musique classique !


Un grand coup de balai serait nécessaire afin que les prochaines Victoires de la Musique 2014 soit enfin de vraies Victoires et non un sanctuaire musical digne de la scène finale d'Aïda de Verdi.


NB - Les spectateurs bordelais n'ont pas réservé à Vittorio Grigolo le triomphe qu'il méritait. Une fois de plus, le public se laisse naïvement guider par des médias qui préfèrent encenser d'autres ténors qui devraient avoir l'intelligence et l'honnêteté de s'effacer ou de prendre leur retraite. Ce serait un service qu'ils rendraient à l'art lyrique. A bon entendeur...

 

A noter : grâce à Alain Juppé, la ville de Bordeaux dispose désormais, dans le centre ville, d'un superbe Auditorium qui pourrait faire pâlir de jalousie bon nombre de grandes capitales européennes.

 

 

 

La Dame de Pique de Tchaïkovski / Ludovic Tézier, Prince Yeletski

Ludovic Tézier possède le panache, l'élégance et l’autorité vocale des barytons de la grande époque des Robert Massard, Ernest Blanc et Gabriel Bacquier pour n’en citer que trois parmi d’autres !

 

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 18:49


Chères lectrices, Chers lecteurs,

 

Si vous souhaitez me connaître mieux…

Si vous souhaitez que je vous dévoile les plus beaux souvenirs de ma vie professionnelle…

Si vous souhaitez que je vous fasse mieux partager mes passions…

 

Je vous donne rendez-vous sur les ondes de Radio Semnoz aux dates et horaires suivants :

 

EMISSION : RENCONTRE

animée par Fabrice Henriot

 

Mardi 19 mars à 13 h 30

Dimanche 24 mars à 16 h 30

Jeudi 28 mars à 13 h 30

 

www.radiosemnoz.com (en direct)

 

Au sommaire les voix des merveilleuses cantatrices qui sont aussi mes amies Andréa Guiot, Anne Sophie von Otter sans oublier ma chère Brigitte Fossey, comédienne hors pair.

 

Egalement au sommaire de cette émission un extrait d’un motet d’André Campra sous la direction de mon ami Bill, autrement dit William Christie.

 


Par ailleurs, mon fils Julien (21 ans) étudiant à l'Ecole Supérieure de Commerce de Bordeaux, participera à l'émission L'INTERVIEW diffusée ce vendredi 1er juin à 7 h 20 ; 12 h 18 ; 18 h 15 et 23 h 12.
Julien vous entraînera dans les milieux du cinéma et du Festival du Court Métrage de la capitale de la Gironde.

www.radiosemnoz.com (en direct).



Bonne écoute à tous et à toutes !

 

christian.chorier@gmail.com

 

 


 

Mireille de Charles Gounod / Andréa Guiot, Mireille & Alain Vanzo, Vincent / 1961 

 


Ariodante de Händel / Anne Sophie von Otter, mezzo-soprano / 1997

 

 

Motets d’André Campra / Direction William Christie / Les Arts Florissants

 


Brigitte Fossey, dès le matin, dans les studios de France Musique

 

 

 

Brigitte Fossey dit Jacques Prévert !

 

 

 

Une amitié de 37 années me lie avec Brigitte Fossey.

Notre première rencontre : "La Mouette" de Tchekhov au Théâtre de Valence (ma première direction artistique) dans la mise en scène de Sacha Pitoëff.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 12:18

 

Photos Christian Chorier (février 2012)

 

Documents-4888.JPG

 

Une scène irrévérencieuse identique à celle que l'on vit souvent au quotidien !

Documents-4890.JPG

 

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 07:33

Ils seront, en principe, les invités des

Victoires de la Musique 2013.

A ne pas manquer,  rien que pour eux. 

Le reste de la soirée ne sera que routine ou redite... à moins que…

 

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 00:22


Parmi les ténors les plus demandés sur les grandes scènes internationales, j’ai omis de citer Piotr Beczala.

J’ose espérer que ce brillant artiste me pardonnera cet involontaire oubli !

En effet le ténor polonais Piotr Beczala mérite de figurer dans le palmarès des meilleurs interprètes actuels.

Après avoir ses classes, si j’ose dire, à l’Opernhaus de Zurich, l’une des meilleures maisons d’opéra – avec le Staatsoper de Munich – d’Europe, il est, aujourd’hui, l’un des ténors les plus admirés.

Notre ténor national qu’une certaine presse française ne cesse d’encenser (« faute de merle on mange des grives », comme diraient certains) n’est  pas en mesure, hélas, de se mesurer aux autres ténors étrangers. Il fait piètre figure auprès des Kaufmann, Diego Florez, Grigolo et autres ténors internationaux.

Pauvre France et pauvre art lyrique français.

Où est donc passée notre école de chant française qui faisait, jadis, les beaux soir du Palais Garnier et de la salle Favart ?

A la grande époque, l’Opéra de Paris affichait cinq ou six ténors de premier plan, autant de barytons et des dizaines de sopranos aux aigus triomphants et à la diction parfaite !

 

 


La Veuve Joyeuse de Franz Lehar («je t’ai donné mon cœur») / Piotr Beczala, ténor.

 

 

La Traviata de Verdi / Piotr Beczala, Alfredo & Eva Mei, Violetta / Opernhaus, Zurich.

 

 

La Bohème de Puccini / Piotr Beczala, Rodolfo / Salzburg Festival, 2012

 

 

Le Chevalier à la Rose de Richard Strauss / Piotr Beczala, le chanteur italien / 2012

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 22:36

 

Ils sont nombreux à être des artistes oubliés. Pourtant, ils ont marqué leur époque et ils ont fait les beaux soirs du monde de l’opéra.

Aujourd’hui, nous serions heureux d’avoir des dizaines de ténors de cette trempe. Ce n’est hélas pas le cas !

En France, pas un seul ténor susceptible d’être au niveau de ces artistes émérites.

De nos jours, dans le monde entier, les grands ténors se comptent sur les doigts d’une seule main. ils ont pour nom : Jonas Kaufmann, Vittorio Grigolo, Juan Diego Florez, Joseph Calleja, Marcelo Alvarez...

 
 
 

Rigoletto de Verdi / Renato Cioni, Duca di Mantova / Rome, 1961

 

La Gioconda de Ponchielli / Fernando de la Mora, Enzo Grimaldi / 1995

 

 


Macbeth de Verdi / Veriano Luchetti, Macduff / Scala de Milan, 1975

 
 

Tosca de Puccini / Salvatore Licitra, Mario Cavaradossi / Scala de Milan, 2000

 

Le jeune ténor sicilien Salvatore Licitra nous a quitté en 2011. Il avait été victime d’un accident de scooter. Il avait seulement 43 ans. Il était le ténor que toute la péninsule Italienne attendait depuis longtemps. Un rêve brisé !

J’ai entendu Salvatore Licitra, pour la dernière fois, dans « Aïda » (rôle de Radamès) dans le cadre de l’Arena di Verona. Mes enfants avaient été subjugués par ce magnifique artiste.

 

Aïda de Verdi / Salvatore Licitra, Radamès / Opéra de Zurich, 2006

 

Salvatore Licitra était doté d’une voix naturelle et puissante avec une émission franche et saine. Voilà qui devrait faire réfléchir certains autres ténors !

 
 
 
 
 
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  • : Les souvenirs qui ont jalonné ma vie artistique professionnelle. Mon point de vue sur l'actualité, la politique, le monde de la musique et de l'opéra, le cinéma...
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  • Christian Chorier
  • Officier des Arts et Lettres  / ex.Directeur Artistique de Théâtres, Maisons de la Culture et de Festivals / Correspondant de Presse "L'Essor Savoyard" / Animateur de l'émission "Des Voix sous les Etoiles".
  • Officier des Arts et Lettres / ex.Directeur Artistique de Théâtres, Maisons de la Culture et de Festivals / Correspondant de Presse "L'Essor Savoyard" / Animateur de l'émission "Des Voix sous les Etoiles".

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