Depuis queRichard Martetm'a adressé son livre "Les grands chanteurs du XXème siécle", ce bouquin ne me quitte plus !
De ma table de chevet jusqu'à mes longues séances de chimiothérapie, il est toujours présent avec moi !
Je dois vous avouer que je pourrais presqueréciterpar coeur les biographies de certains chanteurs avec lesquels j'ai eu l'immense honneur de collaborer et ceux que j'ai eu le plaisir d'applaudir sur diverses scènes internationales.
Quitte à surprendre une majorité de mes lecteurs, je dois avouer que ce livre me fait rêver face aux fulgurantes carrières d'une cinquantaine de chanteurs queRichard Marteta répertorié.
Ce livre est consacréaux ténors (noblesse oblige) mais aussi aux barytons et aux basses.
On attend avec impatience son prochain livre sur les divas.
Ceux qui me connaissent savent que j'apprécie les voix masculines mais que j'adore, plus que tout, les voix féminines.
Celles des sensuelles mezzos-sopranos me procurent de grandes émotions, celles des sopranos, plus élégiaques,m'accompagnent aux portes du paradis !
La Damnation de Faustde Berlioz / José Van Dam, Méphisto / Direction musicale Georg Solti/ Royal Albert Hall de Londres, 1989
J’ai eu le plaisir d’inviterSamuel Rameyen récital à Clermont-Ferrand. Il avait reçu un accueil triomphal. La salle était debout après chacun des airs interprétés.
J’ai invitéJosé Van Damau Théâtre de Poissy pour un mémorable concert Wagner et ensuite au Festival International de Montreux pour une Damnation de Faust d’anthologie.
Pour le plaisir… d’amour l’ardente flamme !
La Damnation de Faustde Berlioz (version intégrale) / DirectionGeorg Solti/ Anne Sophie von Otter, Marguerite, José van Dam, Méphisto, Keith Lewis, Faust / Londres, Royal Albert Hall, 1989
Très souvent, j’ai eu l’immense joie et le bonheur d’accueillirAnne Sophie von Otterau Théâtre de Poissy.
Non, ce n'est pas de ce gentil, adorable et inoffensif petit animal dont je souhaite vous parler mais d'un article lu dans l'hebdomadaire "L'Essor Savoyard" du 17 janvier, sous la plume de mon amiOlivier Durand.
Cet article nous informe que le Sénateur UMP de la Haute-SavoiePierre Hérissonse verrait bien président de l'agglomération.
Cet article m'a stupéfié et laissé sur le carreau, oserais-je dire !
En effet, ce sénateur n'a pas hésité, récemment, à garer sa luxueuse limousine sur un emplacement réservé officiellement aux personnes handicapées, près du "Centre Courier" d'Annecy pour être plus précis ! Plusieurs personnes ont été les témoins de cet acte indigne !
Comment pourrait-on confier la fonction de président de l'aglo à une personne qui semble mépriser, à ce point, ses concitoyens ?
Ce serait un nouveau scandale à porter à l'actif de l'UMP, un parti qui n'a nullement besoin, en raison de son extrême fragilité, d'affaires de ce type.
A bon entendeur...
Par ailleurs, l'autre soir sur le petit écran télé,Nadine Morano(UMP) a été à la limite du supportable face aux deux habiles et tenaces journalistes que sont les compères et complices Zemmour et Naulleau...
Miss Morano a fait preuve d'une certaine véhémence qui a paru incontrôlée. Résultat : son discours est tombé complétement à plat !
Il faudrait peut-être conseiller à l'ancienne ministre de Monsieur Nicolas Sarkozy de relire et de méditer la pièce de William Shakespeare : "Beaucoup de bruit pour rien" !
Opéra, crise, guerre, chômage... les temps sont moroses et inquiétants
Mes articles concernant le monde de l'opéra sont rares ces derniers temps car l'actualité lyrique n'offre rien de bien captivant si ce n'est la remarquable prise de rôle de Maria Stuardade Donizetti par mon amieJoyce DiDonatosur la scène du Metropolitan Opera de New-York.
Je savais, depuis de long mois, que Joyce triompherait aisément de ce rôle redoutable ! Joyce n'est pas une star fabriquée mais une authentique cantatrice dans la lignée de la divineLella Cuberli.
Elle surclasse de très loin et de très haut, les Netrebko, Garança et autres artistes d'un star-system qui ne veut plus rien dire !
Je suis personnellement très heureux que Joyce soit devenue la "coqueluche" du public du MET. Je la félicite très chaleureusement !
La crise continue malgré les promesses dont on nous affuble via les médias. Les pauvres sont de plus en plus proches de la misère totale, la classe moyenne va elle aussi considérablement s'appauvrir, seuls les riches pourront continuer à étaler leur richesse aux yeux du monde.
La guerre : à peine revenues d'Afghanistan, nos valeureuses troupes françaises sont envoyées sur le sable malien. Les Américains nous ont démontré combien il était difficile de gagner une guerre dans les contrées désertiques. Avec la guerre du Mali ne risque-t-on pas de nous enliser pendant plusieurs mois et, au pire, pendant plusieurs années à moins que le rappel de nos troupes sur le sol français soit déclaré par nos dirigeants ?
Le chômage tend à progresser et la courbe d'inversion tant annoncée risque d'être comme un mirage dans le désert !
Avouons que toutes ces nouvelles ne peuvent que nous laisser un goût d'amertume et nous inquiéter pour l'avenir de nos proches et de nos enfants...
Un moment élégiaque et une véritable leçon de chant !
Joyce DiDonato est venue interpréter, à ma demande, le cycle des « Nuits d’Eté » d’Hector Berlioz et « Alcina » (rôle titre) de Händel au Théâtre de Poissy. Des moments de pur bonheur !
Hier, j'ai eu un appel téléphonique de mon amiJean-Claude Houdinièrefondateur et directeur général de "Atelier Théâtre Actuel".
Cela fait 40 années que nous nous connaissons !
J'ai programmé mes deux premiers spectacles avec lui :
"La Mouette" de Tchekhov avecBrigitte FosseyetSacha Pitoëff
et
"Le Tourniquet" de, et avec,Victor LanouxetSim.
Depuis nos routes n'ont jamais cessé de se croiser.
On peut dire, toute modestie mise à part, que nous avons connu, tous les deux, de grands moments de théâtre et de tournées prestigieuses avec des distributions artistiques à couper le souffle.
De telles affiches, qui réunissaient quatre à cinq vedettes de la scène et de l'écran, sont devenues de nos jours irréalisables en raison des coûts financiers et de la conjoncture économique et artistique.
De la société "Atelier Théâtre Actuel" on ne peut pas dissocier Chantal Hilleret, cheville ouvrière de cette noble institution et bras droit de Jean-Claude. J'ai toujours connu Chantal souriante, aimable, affable et passionnée par son métier.
Je garde précieusement ces moments privilégiés dans mon coeur.
Jean-Claude que j'ai connu lorsqu'il était, jadis, au Théâtre de l'Athénée a toujours été un homme distingué et courtois. Un homme galant dira la gent féminine. Nos relations furent toujours chaleureuses ce qui est très rare pour ne pas dire unique dans la profession artistique.
L’amitié qui me lie également avecBrigitte Fosseyvient de franchir le cap des 40 années. Un record et la preuve que la fidélité existe malgré le temps qui passe.
J'ai eu le plaisir de retrouver, récemment, mon amie Marie-Claude Burrus qui dirige avec un dynamisme, une énergie et une vitalité inébranlables ses quatre"Relais de l'entrecôte".
Trois sont situés à Paris aux Champs-Elysées, à Saint-Germain des Prés et à Montparnasse.
Le quatrième se situe rue du Rhône à Genève à deux pas du célèbre jet d'eau !
Ceux qui me connaissent savent que je suis plutôt végétarien mais je craque littéralement pour les fines tranches d'entrecôte que proposent les Relais avec une sauce divine dont la saveur n'a d'égale que l'onctuosité.
Un déjeuner ou un dîner dans les "Relais de l'Entrecôte" s'impose absolument !
La carte des desserts est également somptueuse....
de quoi ravir les gastronomes et tous les autres !
Marie-Paule Burrus, la dynamique et infatigable propriétaire des Relais de l’Entrecôte à Paris et à Genève.
A partir ce de lundi, vous pourrez suivre sur les ondes de RADIO SEMNOZ (01.5 MHZ) - pendant trois semaines consécutives - la diffusion intégrale de l'opéra comique : IL VIAGGIO A REIMSde Rossini avec une distribution artistique légendaire. The best !
J'étais présent à Pesaro (Italie), en 1984, lorsque cet enregistrement a eu lieu !
Un moment fabuleux qui reste gravé d'une manière indélébile dans ma mémoire et dans mon coeur !
L'un des plus grands bonheurs artistiques de ma vie que je me fais un plaisir de vous offrir en partage.
Vous pourrez écouter cet opéra sur :
www.radiosemnoz.com (excellente prise de son d'après un enregistrement sur bande)
les lundis à 10 h 15, les vendredis à 14 h 10 et les dimanches à 20 h 00.
Vous pourrez également le visionner (deux vidéos programmées le 8 janvier 2013), et dès maintenant, sur mon site web :
La qualité de l'image est loin d'être parfaite mais le spectacle mérite tout de même d'être vu et vaut le détour !
La distribution artistique réunissaitLella Cuberli, Samuel Ramey, Ruggero Raimondi, Katia Ricciarelli, Cecilia Gasdia... sous la direction musicale deClaudio Abbado.
Quelques années plus tard, j'ai invitéLella CuberlietSamuel Ramey, en concert, à Clermont-Ferrand etClaudio Abbadoà Montreux.
Deux chanteurs exceptionnels du XX° siècle avec lesquels j'entretiens toujours une correspondance régulière.
Claudio Abbado, l’un des plus grands chefs d’orchestre de sa génération. Il m’avait beaucoup impressionné par son humilité !
Je vous souhaite une agréable écoute et un bon week-end malgré une météo qui ne s'annonce pas très joyeuse (surtout ce dimanche).
NB - Hier soir, j'ai appris le décès accidentel de mon amiClaude Nobs, directeur du Montreux Jazz Festival.
Pendant six années, il m'a soutenu et aidé...
J'ai souvent dîné chez lui dans son magnifique chalet situé sur les hauts de Montreux.
Son immense chalet était celui de "Blanche Neige" avec des trains miniatures (Claude était un collectionneur hors du commun), des téléviseurs dans tous les coins du chalet (de la cave au grenier).
Claude était généreux et fidèle dans ses amitiés. Il aimait préparer des repas gargantuesques !
J'avais été très impressionné par sa piscine souterraine et son coffre-fort identique à celui de la banque de France. C'est dans ce coffre géant qu'il conservait les archives de son festival.
La nouvelle de sa mort m'attriste beaucoup. J'ai perdu un homme qui était cher à mon coeur. J'aimais sa simplicité et son côté complètement "fou". Il aimait faire rire ses invités et ses amis.
Je me souviens, notamment, d'une promenade sur son bateau, un beau jour de printemps. Il aimait la vitesse et il poussait son bateau dans ses limites. L'une des plus grandes peurs de ma vie. A plusieurs reprises, j'ai bien cru que son bateau allait se briser. J'étais soulagé quand nous avons regagné la terre ferme !
Le lac d'Annecy (photos Christian Chorier / Janvier 2013)
Je suis très attristé par la disparition de mon ami CLAUDE NOBS, directeur du Montreux Jazz Festival.
Pendant six années, j'ai eule plaisir de le côtoyer, de déjeuner et de dîner avec lui dans son immense chalet des "Mille et une nuits"situé sur les hauts de Montreux.
Je me souviens aussi d'une promenade à bord de son superbe bateau. Il m'avait proposé de faire le tour du lac.
Il adorait la vitesse et il poussait son bateau dans ses limites... La frayeur de ma vie (je n'ai jamais eu le pied marin). J'étais vraiment heureux lorsque j'ai retrouvé la terre ferme !
Il n'est plus parmi nous mais il reste pour toujours dans nos mémoires et dans coeurs.
Christian Chorier
ex.directeur général et artistique du Montreux Classical Music Festival
Claude Nobsdans son immense chalet situé sur les hauts de Montreux (Suisse)
Le dernier festival ou les chants du crépuscule de Claude Nobs.
Le massif du Semnoz se situe à 20 mn, en voiture, d’Annecy.
Ce dimanche 6 janvier 2013 (*), j’ai souhaité conjurer le sort, si j’ose dire, en réalisant quelques photos au-dessus d’une fantastique et magique mer de nuages !
(*) C'est le 6 janvier 2012 que j'ai appris que j'étais atteint d'un cancer du pancréas.
Photos Christian Chorier
« Il Viaggio a Reims » de Rossini ou le chant lyrique à son apogée !
Un enregistrement historique réalisé en 1984 avec la plus belle distribution artistique dont on puisse rêver !
J’ai eu la chance d’assister à cette soirée lors du Festival de Pesaro (Italie).
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Vous pourrez suivre la diffusion intégrale de cet opéra comique sur les ondes de Radio Semnozà partir du lundi 14 janvier prochain.
Il Viaggio a Reims(1)/ Direction musicale Claudio Abbado/ Lella Cuberli, Cecilia Gasdia, Katia Ricciarelli, Lucia Valentini-Terrani, Bernadette Manca di Nissa, Raquel Pierotti, Samuel Ramey, Ruggero Raimondi, Francisco Araiza, Edoardo Gimenez, William Matteuzzi, Leo Nucci, Enzo Dara, Giorgio Surjan…
Il Viaggio a Reims(2)
J'ai eu l'immense plaisir et honneur d'accueillir Lella Cuberli et Samuel Ramey à Clermont-Ferrand lorsque je dirigeais les Spectacles de la capitale de l'Auvergne.
Il y aura bientôt un an, le 6 janvier 2012 pour être plus précis, j’ai appris que j’allais devoir partager désormais ma vie avec un colocataire non désiré mais déjà bien incrusté dans mon corps !
De ce fait, deux solutions se présentaient à moi : accepter sans broncher cette situation et baisser les bras ou tout mettre en œuvre pour trouver d’autres alternatives.
Je crois pouvoir dire que je n’ai jamais été de ceux qui baissent facilement les bras. On m’a souvent dit que lorsqu’on me fermait la porte au nez, je me débrouillais toujours pour entrer par la fenêtre. Ce n’est pas à mon « grand âge » que j’allais changer, ni de cap, ni mon fusil d’épaule !
Comment ai-je appris cette nouvelle ?
Dans l’un de ces petits box attenants à la salle du «scanner », cet engin capable de vous photographier, sous tous les angles, et de pénétrer dans votre plus totale intimité.
Sur le coup, une telle annonce m’a laissé « KO » mais très vite, après deux ou trois minutes, l’instinct de survie a repris le dessus et je suis parti immédiatement au combat !
Bien entendu, je ne disposais pas des armes appropriées mais c’est à ce niveau que les médecins sont entrés en jeu ! Le soir même, j’étais hospitalisé !
Comment, au fil du temps, perçoit-on cette maladie ?
En ce qui concerne mon cas personnel, je serais tenté de dire que l’on est plus à l’écoute de son corps, ce corps qui s’enlaidit et s’appauvrit sans que l’on puisse rien ychanger.
Avec le temps, comme chantait Léo Ferré, on pressentmieux les moments qui vont être pénibles, déstabilisants et démoralisants, n’ayons pas peur des mots !
Par contre, cette meilleure connaissance desoi permet de mieux appréhender les choses de la vie sous des angles nouveaux. Par exemple : je n’ai jamais autant apprécié une bonne cuisine depuis que mon colocataire s’invite, malgré moi, à ma table. Je ne me suis jamais senti aussi libre de dire publiquement, ou de coucher sur le papier, le fond de mes pensées. Je n’ai plus peur d’intervenir, bruyamment et à haute voix si besoin, lorsque je suis le témoin d’injustices et de scènes douloureuses, telles que celles qui concernent les sans-abris, les enfants qui crèvent de faim, ceux qui sont confrontés à la misère et à la maladie, les scandales du monde de la politique…
Avant, j’étais plutôt un homme du style réservé mais grâce à cette maladie je me suis totalement libéré !
Que faut-il faire pour combattre cette maladie ?
La première des choses, il faut avoir une confiance totale avec les équipes médicales qui vous entourent et, en tout premier lieu, avec votre oncologue. Il faut laisser agir le corps médical mais les aider, à notre modeste manière, en étant très direct avec eux. Ici, la langue de bois est bannie et l’on ne peut que s’en réjouir !
La deuxième chose consisteà bénéficier du soutien de tous ceux qui vous entourent et de votre famille en toute priorité. Sans ce soutien affectif et « physique », lemalade pourrait vite lâcher le gouvernail tant la tempête est souvent déchaînée et les vents d’une violence extrême !
La troisièmeet dernière chose : conserver une activité professionnelle ou semi professionnelle. J’ai eu la chance, en ce qui me concerne, de pouvoir réaliser des reportages pour l’hebdomadaireL’Essor Savoyardet d’animer une émission musicale « Des voix sous les étoiles » sur les ondes deRadio Semnoz.
Conclusion
Avec un tel cancer, nul ne peut prédire le temps de vie qui vous reste. Bien entendu les statistiques sont démoralisantes mais il faut les fuir et les ignorer comme disent les médecins !
Chaque individu a ses propres ressources. A lui de savoir bien les gérer et à lui de savoir bien mener un tel combat comparable à celui de David contre Goliath.
Bien entendu, les malades se situent du côté de David maisils savent aussi, au plus profond d’eux-mêmes, que lors de la dernière ligne droite, c’est Goliath qui aura, hélas, le dernier mot !
Mes remerciements
Au terme de cet article, je tiens à remercier tout spécialement le Docteur Gilles Catimel (mon oncologue) et sa dynamique et dévouée équipe de la Clinique Générale d’Annecy ; l’ensemble des personnels de l’HAD 74 (hospitalisation à domicile), mon neveu Gilles d’Abrigeon (oncologue à l’hôpital de Montélimar) sans lesquels je n’aurais probablement plus la possibilité de communiquer encore avec vous !
Je tiens également à remercier mon épouse Corinne et mes enfants Nicolas, Julien et Manon qui, tout au long de l’année, doivent supporter mes humeurs changeantes, mes angoisses et cette maladie qui assombrit chacune de nos journées. Je remercie également tous les membres de ma famille : May, Eric, Gilles et Isabelle mais aussi mes jeunes neveux parisiens qui sont de remarquables musiciens !
Je remercie également tous ceux qui m’ont apporté, tout au long de cette année, leur soutien grâce à d’émouvants messages et témoignages d’amitié : mes amis parisiens C. Veyssier, médecin-chef au CHI de Poissy - Saint-Germain en Laye ; Sylvie Hubac, directrice de cabinet de François Hollande ; J.F. Raynal, vice-président du conseil général des Yvelines ; E. Garandeau, président du Centre National du Cinéma ; Brigitte Fossey, merveilleuse comédienne (notre amitié dure depuis 1973) ; Anna-Caterina Antonacci, la plus grande tragédienne lyrique de sa génération ; M. Dumontet A. Dutilh de France-Musique ; G. Macassar de Télérama ; C.Adan ; J.Blanc-Talon toujours présent dans les moments difficiles ; O. Roy que je nomme le "jeune frère" que je n'ai pas eu ; M.P. Burrus, A. et J.P Maillet, Jean-François Deluol mais aussi J.L Rigaut, maire d’Annecy ; D.Puthod, maire-adjoint d’Annecy et A.M Aubry, directrice de cabinet de J.L. Rigaut ; E.Regnault de Montgon, ex.maire-adjoint de Clermont-Ferrand ; J. Lambert, D. Coulon et P. Delareux qui habitent la banlieue Ouest de Paris ; N.Heiliginstien d’Evian-les-Bains ; Hervé Gallien d’Aix-les-Bains ; A. et L Balsan de Valence (Alain fut maire-adjoint et Léna fut maire de la ville de Valence) ; B. Pourreyron, A. et M. Gelineau et Jean-Pierre Fioux de Clermont-Ferrand, Anne-Sophie et Michel d'Aix-en-Provence.
Je souhaiterais remercier également mon indispensable complice C.Chancel-Fribourg qui habite à Briançon, la plus haute ville d’Europe, soit dit en passant, mais aussi les annéciens et ancileviens : P. Desachy, directeur de la Fnac, P. Droux, directeur de l’hôtel-restaurant-spa « les Trésoms » ; A. Rougerie, A.Lombard, N.Favre, Y. Jacques, F. Bernard, A. Pamigoni, Z. Brahimi, E.Warembourg et S et C.E. Fantin (Charles-Edouard est un fabuleux luthiste de niveau international).
Comment ne pas citer ma chère amie Géraldine Baehr, chef d’édition à l’Essor Sayovard, mais également les sympathiques membres de son équipe : Leila, Oliver et Jean-Baptiste. Grâce à eux, j’ai le plaisir de faire des reportages, de faire des photos et d’écrire dansL’Essor Savoyard.
Comment ne pas remercier H. Van der Veken, président et F. Henriot, directeur, de Radio Semnoz ainsi que Claude et Hervé. Grâce à eux, j’ai le plaisir d’animer, chaque semaine sur 91.5 MHz, l’émission « Des voix sous les étoiles », diffusée les lundis à 10 h 15, les vendredis à 14 h 10 et les dimanches à 20 heures (www.radiosemnoz.com) ou
https://audiobox.box.com/s/8g5odxj36e12myaj26v3
Je ne souhaiterais pas clôturer cette liste sans avoir une pensée pour tous ceux que je n’ai pas eus la place de nommer mais qui tiennent également une place dans mon cœur !
Christian Chorier
Dimanche 31 décembre 2012
Meilleurs vœux de bonne et heureuse année à tous et à toutes pour 2013 !
A noter : on me demande souvent ce que je fais du soir au matin et du matin au soir, je réponds:Je chante… sous ma douche, devant mon ordinateur mais aussi pour mes amis lors de sympathiques et festives veillées !
Je chante(1937) de Charles Trénet(1913-2001)
Avant de vous quitter, je souhaiterais rendre un vibrant à ma chère Maman - hélas disparue depuis plus de vingt ans - grâce à cette chanson de Berthe Sylva qu’elle chantait souvent à l’oreille de l’enfant que j’étais jadis !
Si j’osais en cette période de l’an nouveau, j’émettrais le vœu de « Je veux vivre… » comme chante ma grande amie, la soprano coréenne Sumi Joavec laquelle, j’ai réalisé de nombreux concerts à Poissy et à Montreux, notamment l’enregistrement de « Tancredi » de Rossini sous la direction du maestro Alberto Zedda.
Roméo et Juliettede Charles Gounod ( Je veux vivre dans un rêve…) / Sumi Jo, soprano lirico-colorature / Hong Kong, août 2011
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Brigitte FosseyetAnna-Caterina Antonacci, deux magnifiques artistes qui tiennent une place particulièrement importante dans mon cœur !
En 1973, lorsque j’ai débuté ma carrière de directeur artistique, c’est Brigitte qui est venue jouer « La Mouette » d’Anton Tchekhov dans mon Théâtre.
Depuis nos chemins se sont toujours croisés : à Clermont-Ferrand, à Poissy…
Notre amitié demeure intacte depuis le premier jour de notre rencontre !
Merci, ma chère Brigitte pour cette fidélité sans faille !
C’est à Clermont-Ferrand, puis à Poissy et à Montreux que j’ai eu le plaisir d’accueillir Anna-Caterina.
J’aime la manière dont elle prend chacun de ses rôles à bras le corps !
Avec Anna-Caterina, c’est à la fois l’artiste lyrique et la tragédienne que j’apprécie.
J’ai fait le choix de faire entendre Anna-Caterina dans « Nina », opéra de Paisiello, à la Scala de Milan, sous la direction musicale deRiccardo Muti.
De tous les airs d’opéra, c’est l’un de mes préférés pour ne pas dire « mon air préféré » !
Un moment de détente et de sérénité au SPA des Trésoms. Au premier plan, ma fille Manon !
Avec le sourire, Clara sert des thés aux mille parfums exotiques aux clients du SPA des Trésoms.
Une sympathique équipe de "France 2 télévision" effectue un tournage sur la magnifique terrasse de l'Hôtel-Restaurant des Trésoms à Annecy
Les Trésoms : J'adore cet endroit propice à la détente et à la sérénité(Christian Chorier)
photos 1 à 5 / Christian Chorier
photo 6 / Clara
Lorsque des amis, des artistes ou des connaissances passent ou viennent séjourner à Annecy, je leur conseille, sans la moindre hésitation, de séjourner dans ce charmant établissement.
Ici, les clients ne sont pas simplement des numéros mais ils sont reçus comme des amis. Les services, l'accueil,les personnels sont aimables, souriants et attentifs. Ils sontà l'image de Monsieur et Madame Pascal Droux, les heureux propriétaires de ce petit paradis terrestre.
Le restaurant offre des menus et des plats d'une incontestable qualité. Ici, l'imagination du chef de cuisine rivalise avec un authentique talent ! La table est un délice permanent !
Les chambres sont très agréables et offrent une vue imprenable sur le lac et les montagnes. L'endroit est calme et reposant.
Le SPA est un endroit privilégié pour la détente, la sérénité et le bien-être ! Les charmantes et très aimables esthéticiennes sont à votre écoute mais vous font également bénéficier de leurs précieux et judicieux conseils.
"Les Trésoms" sont un endroit de rêve pour un déjeuner, un dîner ou des soirées enchantées. Le meilleur hôtel-restaurant et le plus agréable SPA de toute la région.
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mes souvenirs, mes coups de coeur, mon point de vue
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Les souvenirs qui ont jalonné ma vie artistique professionnelle.
Mon point de vue sur l'actualité, la politique, le monde de la musique et de l'opéra, le cinéma...
Officier des Arts et Lettres / ex.Directeur Artistique de Théâtres, Maisons de la Culture et de Festivals / Correspondant de Presse "L'Essor Savoyard" / Animateur de l'émission "Des Voix sous les Etoiles".
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